Tuesday, November 25, 2008

Inspirée par les monstres...

Il était deux heures du matin, et Marie était assise devant son miroir, comme chaque nuit, se préparait à se coucher.

« Quelle soirée magnifique ! pensait-elle avec un sourire en laissant tomber ses cheveux. »

Son petit ami, Jean-Pierre, l’avait invité à aller à l’opéra italien qui s’appelait La Cenerentola et qui jouait uniquement pendant une nuit à Paris. Ça avait été la première fois qu’elle était allée à l’opéra. Elle avait été presque hypnotisée par les voix des chanteurs dont les costumes riches avaient incarné la fantaisie d’un autre monde. Après la fin du spectacle, la nuit venait de commencer. Jean-Pierre et elle étaient allés dans un restaurant où ils avaient mangé des plats délicieux et ils avaient bu trop de vin. Puis, ils étaient allée au bal où ils avaient dansé pendant des heures. Elle avait trouvé une telle soirée avec lui charmante et inspirante, une de celles dont elle avait rêvé depuis longtemps.

Certes, dès qu’elle avait rencontré Jean-Pierre, sa vie avait été tellement changée. Elle venait d’une famille paysanne, et elle habitait dans une petite maison de bois dans une ville peu connue dans le sud de la France. Il y a six mois à la campagne près de chez elle, il l’a vue travaillant dans la petite boulangerie de son père, et ça avait été le coup de foudre. Elle avait déménagé à Paris pour être plus proche de lui, et elle restait depuis avec sa tante. À Paris, elle vivait une vie pleine de beauté et de richesse grâce à Jean-Pierre. À la fin de la soirée, il commençait à pleuvoir. Ils se sont dit « bonne nuit » et elle est rentrée chez sa tante où elle a vite monté l’escalier de sa chambre.

Balayée par toutes ses émotions de joie et d’amour, elle s’est levée, et elle s’est mise à faire semblant de danser avec lui pendant qu’elle fredonnait une petite chanson. Elle pensait qu’elle était la plus heureuse possible.

Soudain, il y a eu un claquement sur la porte. Son cœur a sauté ; qui était là à une telle heure ! Elle a ouvert la porte.

« Tiens ! Jean-Pierre, que faites-vous ici ? »

Il était trempé de pluie et à genoux, il respirait profondément et sa main s’est cramponnée au cadre de porte. Il a ouvert de grands yeux presque hypnotisés, et il a regardé Marie avec peur.

« Je suis malade ! » il a crié pendant qu’il s’est saisi de sa main, et essayait de se lever. 

« Venez ici et se reposer sur le lit. » Elle l’a soutenu vers le lit, où il s’est couché, épuisé. « Qu’est-ce qui s’est passé ? »

Avec beaucoup d’effort, Jean-Pierre a commencé de raconter son histoire effrayante. « J’étais à l’extérieur devant sa porte. Nous nous sommes dit « bonnes nuits » et vous, vous êtes déjà parti. Moi, je restais devant la porte parce que… » il respirait très difficilement. « J’avais perdu mon courage, et j’étais en train de partir. Tout à coup, quelque chose m’a emparé fort et m’est mordu sur le cou ! » Il a tourné sa tête et il a montré son cou à Marie. Il y avait deux trucs d’où son sang ruisselait un peu.

Marie avait beaucoup de peur. « Oh là-là ! Qu’est-ce que c’est ? Quel monstre pouvait le faire ? » elle a demandé.

« Je ne sais rien. Quand je me suis réveillé, j’étais sur la terre mais encore devant sa porte, et je n’ai vu personne. » Chaque mot semblait à voler plus de sa vie. « Puis, soudain, je me sentais le plus malade que jamais, comme j’étais en train de mourir, et je ne pensais qu’à toi. » Il lui regardait avec les yeux mouillés, toujours à bout de souffle.

«  Marie, » il a commencé gravement, « j’avais envie depuis longtemps de vous poser uniquement une question, » il a dit à voix basse. Il ne respirait vraiment plus.

Marie avait attendu de ce moment depuis toujours, mais elle ne s’était jamais attendue la pire. Il sera mort avant qu’il puisse le dire, elle pensait.

« Non, mon cher, s’il vous plait, ne dites rien. Bien sûr j’accepte. » Avec ses mots, Jean-Pierre a fermé ses yeux, et il a respiré de la vie la dernière fois.

Marie a fondu en larmes, baissant sa tête sur la poitrine de lui. Elle a perdu l’homme de sa vie, qu’elle aimait fort et elle était le plus triste que jamais. Elle restait comme ça pour longtemps, elle pleurait sans cesse sur le corps inanimé de son amour.

Soudain, elle s’est senti sa tête est levée et est baissée, à cause d’une aspiration. Elle a sauté vite, choquée, et elle avait les yeux incrédules. Mais ce n’était pas possible ! Il était encore vivant ? Elle le regardait pendant que Jean-Pierre a aspiré une fois plus forte. Si, si, il est vivant !

Il a ouvert ses yeux, mais ce n’était plus Jean-Pierre, mais plutôt un monstre horrible. Il l’a regardé avec une grimace terrifiante, et il a posé sa seule question.

« Voulez-vous me joindre dans cette maladie, Marie ? »

Elle a fait un cri terrible, pendant qu’il l’a prise dans ses bras, et il l’a dévorée complètement. 


Les Amies de la Famille : Ma Rencontre Autour de la Table de Dîner

Il y a deux semaines, j’étais invitée à une soirée magnifique avec ma mère d’accueil et sa collègue et amie, Florence. Nous allions dîner ensemble et puis aller au concert de jazz. C’était ma première invitation d’une vraie Française, et j’attendais avec impatience toute la semaine ce rendez-vous.

Ce soir-là, j’ai pris le train vers les banlieues de Paris, jusqu’à Enghien-les-Bains, d’où ma mère d’accueil m’a amené en voiture chez Florence. Elle avait préparé des petits hors-d’œuvre et elle avait acheté une bouteille de champagne pour l’occasion. Nous avons pris une petite pause pour manger un peu et boire un peu plus, et ensuite, nous sommes allées au concert de jazz. Le concert, un trip de guitares, durait pendant une heure et demie, parmi des peintures inspirées par ce type de musique. Ensuite, nous sommes rentrées chez Florence où nous avons dîné toutes les trois. C’était une soirée magnifique, et je me suis bien amusée avec ma mère d’accueil et Florence.

En fait, c’était la troisième fois que je dînais avec les deux femmes. La première fois que j’ai rencontré Florence, j’étais chez ma mère d’accueil, et nous n’avons bu qu’un verre de vin toutes les trois. La deuxième fois, nous avons dîné ensemble chez moi, à la française, c’est-à-dire dîner en trois parties pendant longtemps et avec beaucoup de vin. La troisième fois, elle m’a invité chez elle pour une soirée inoubliable. Chaque fois, nous nous connaissons de plus en plus, et nous devenons plus amies. Après ces trois « dîners, » je connais mieux ce qui est un ami « à la Française. » Je ne me souviens pas comment je l’ai appris, mais dans mes études de la culture française, j’avais trouvé que, en France, un ami est plus que quelqu'un qu’on connaît bien. Il me semble que les amis français soient très fidèles et qu’ils se sont redevables toujours. Ainsi, il me semble que le temps de connaissance dure longtemps pour que les personnes deviennent bons amis. Pendant ces moments passés avec elles, je me suis rendue compte que la fidélité et la dette d’amitié existent vraiment dans la société française. Je me souviens du proverbe Balti,  « The first time you share tea with a Balti, you are a stranger. The second time you take tea, you are an honored guest. The third time you share a cup of tea, you become family. » Après ces trois rencontres avec Florence, je me sens partie de cette famille « à la française. » Je comprends mieux ce que je dois aux amis, et maintenant, je la regarde comme une valeur extraordinaire.

Monday, November 17, 2008

L'économie française

            L’état de l’économie française, selon les articles, semble d’être un sujet complexe. Il y a plusieurs de facteurs qui ajoutent de l’amélioration d’une économie, par exemple, le taux de chômage, les tarifs de production, ayant les déficits ou les excédents. Dépit la France, comme les autres pays de l’Union Européenne, a ses propres obstacles, on dirait qu’elle n’a pas la meilleure économie, ni la plus mauvais. Tout de même, elle garde l’équilibre et elle essaie d’améliorer l’état de l’économie. Pour mieux comprendre, j’avais consulté autres documents concernant l’économie française. Pour réaliser cette synthèse, il faut que je cite tous les faits et les idées viennent des articles de Le Monde présentés dans la brochure.

            L’économie française ne reste pas toujours éclatante de santé. Depuis 1990, le nombre des RMIstes, qui reçoivent une allocation de l’état pour leurs difficultés, et chômeurs, qui n’ont pas emploi, augmentent ensemble jusqu’à l’année 2003 où le nombre des RMIstes commence à diminuer, selon le graphique « Les performances controversées de l’Hexagon. » C’est dur pour la France à payer en raison de leur déficit budgétaire. Quoique Allemagne ait un excédent de 13,9 milliards d’euro, la France a un déficit de 4,8 milliards d’euro. Pareil, le déficit énergique française a augmenté par 23,6 milliards d’euros. Bien comme en Amérique, entre 2002 et 2006 le prix du pétrole en France a doublé, selon Le Monde. Tout irait mieux en France et bien en Amérique s’ils essayaient imiter l’économie forte de la Norvège, qui ne fait pas partie de l’Union Européenne. Elle augure de recevoir sept milliards d’euro supplémentaires à cause de l’augmentation du prix de pétrole, alors qu’elle n’a pas plus de 2,4 par cent de chômage. Une interview avec Jean Arthuis, le président de la commission des finances du Sénat et le ministre de l’économie, ajoute à ce discours. Il dit qu’il y a une tendance de perte ou suppression d’emplois ; par exemple, récemment 4 000 chez Renault, une marque de voitures française, et 1 million chez Insee entre 1990 et 2007, une industrie française. Rajoutant de ce problème, il existe la délocalisation de production, c’est-à-dire la production des choses françaises hors du territoire français. Arthuis cite par exemple un sur trois des voitures françaises ont été faites ailleurs en 2001. Il raison « pour rester compétitifs, les industriels sont incités... à produire hors du territoire national, là où n’existent pas les mêmes contraintes administratives, fiscales et sociales. » Il suggère que le pouvoir d’achat accroisse si on produit collectivement plus. En outre, il suggère de diminuer les tarifs sur la production et de subventionner, ou soutenir financièrement, les entreprises.

Malgré ces indicateurs de difficulté économique, la France n’est pas la pire de l’Union Européenne. Par exemple, en Espagne et en Ireland, à cause de la crise financière, la croissance en égard au chômage continue à grimper, comme milles d’emplois sont perdus. En plus, les deux pays avec les Etats Baltes, tous ensemble combattent les résultats négatifs de l’inflation à cause de leur taux de change fixe par rapport à l’euro, selon Le Monde. À l’autre côté, quelques pays dans l’Union Européenne comme la France, la Pologne et le République tchèque par exemple pratiquent un taux de change flexible par rapport à l’euro, et leurs économies profitent bien. En outre, on voit que les entreprises dans les vingt-sept pays de l’Union Européenne bénéficient de la compétition parmi eux et d’ailleurs. Tandis que les entreprises françaises et allemandes profitent de la compétitivité (bien que les entreprises et l’économie allemandes sont supérieures compétitivement de ceux de la France), ceux de l’Italie, du Portugal et de la Grèce sont touchés par le chômage, en fait par cent de la population en Italie, et donc ne tirent pas profite de cette même compétitivité.

Finalement, dépit quelques difficultés financières, on reconnaît que, en comparaison avec autres pays européens, l’économie française va bien. Quant à la productivité, la France a la plus productivité par tête dans le secteur manufacturier depuis 1996 que l’Allemagne, l’Italie, le Royaume-Uni ou La Suède, selon un graphique qui a été fait en partie par les informations d’Insee. Probablement, elle affiche ces résultats grâce à la baisse des heures annuelles ouvrées par personne ayant emploi en France, selon un autre graphique dans l’article. C’est-à-dire que les personnes ayant emploi ont les travails salaires, et qu’ils ont plus probable de retenir leur travail. Pendant le temps de la crise financière du monde, il faut parler individuellement du pays qui sont influencés par telle crise. Par rapport des autres pays, tout va relativement bien en l’économie française pour l’instant.