L’état de l’économie française, selon les articles, semble d’être un sujet complexe. Il y a plusieurs de facteurs qui ajoutent de l’amélioration d’une économie, par exemple, le taux de chômage, les tarifs de production, ayant les déficits ou les excédents. Dépit la France, comme les autres pays de l’Union Européenne, a ses propres obstacles, on dirait qu’elle n’a pas la meilleure économie, ni la plus mauvais. Tout de même, elle garde l’équilibre et elle essaie d’améliorer l’état de l’économie. Pour mieux comprendre, j’avais consulté autres documents concernant l’économie française. Pour réaliser cette synthèse, il faut que je cite tous les faits et les idées viennent des articles de Le Monde présentés dans la brochure.
L’économie française ne reste pas toujours éclatante de santé. Depuis 1990, le nombre des RMIstes, qui reçoivent une allocation de l’état pour leurs difficultés, et chômeurs, qui n’ont pas emploi, augmentent ensemble jusqu’à l’année 2003 où le nombre des RMIstes commence à diminuer, selon le graphique « Les performances controversées de l’Hexagon. » C’est dur pour la France à payer en raison de leur déficit budgétaire. Quoique Allemagne ait un excédent de 13,9 milliards d’euro, la France a un déficit de 4,8 milliards d’euro. Pareil, le déficit énergique française a augmenté par 23,6 milliards d’euros. Bien comme en Amérique, entre 2002 et 2006 le prix du pétrole en France a doublé, selon Le Monde. Tout irait mieux en France et bien en Amérique s’ils essayaient imiter l’économie forte de la Norvège, qui ne fait pas partie de l’Union Européenne. Elle augure de recevoir sept milliards d’euro supplémentaires à cause de l’augmentation du prix de pétrole, alors qu’elle n’a pas plus de 2,4 par cent de chômage. Une interview avec Jean Arthuis, le président de la commission des finances du Sénat et le ministre de l’économie, ajoute à ce discours. Il dit qu’il y a une tendance de perte ou suppression d’emplois ; par exemple, récemment 4 000 chez Renault, une marque de voitures française, et 1 million chez Insee entre 1990 et 2007, une industrie française. Rajoutant de ce problème, il existe la délocalisation de production, c’est-à-dire la production des choses françaises hors du territoire français. Arthuis cite par exemple un sur trois des voitures françaises ont été faites ailleurs en 2001. Il raison « pour rester compétitifs, les industriels sont incités... à produire hors du territoire national, là où n’existent pas les mêmes contraintes administratives, fiscales et sociales. » Il suggère que le pouvoir d’achat accroisse si on produit collectivement plus. En outre, il suggère de diminuer les tarifs sur la production et de subventionner, ou soutenir financièrement, les entreprises.
Malgré ces indicateurs de difficulté économique, la France n’est pas la pire de l’Union Européenne. Par exemple, en Espagne et en Ireland, à cause de la crise financière, la croissance en égard au chômage continue à grimper, comme milles d’emplois sont perdus. En plus, les deux pays avec les Etats Baltes, tous ensemble combattent les résultats négatifs de l’inflation à cause de leur taux de change fixe par rapport à l’euro, selon Le Monde. À l’autre côté, quelques pays dans l’Union Européenne comme la France, la Pologne et le République tchèque par exemple pratiquent un taux de change flexible par rapport à l’euro, et leurs économies profitent bien. En outre, on voit que les entreprises dans les vingt-sept pays de l’Union Européenne bénéficient de la compétition parmi eux et d’ailleurs. Tandis que les entreprises françaises et allemandes profitent de la compétitivité (bien que les entreprises et l’économie allemandes sont supérieures compétitivement de ceux de la France), ceux de l’Italie, du Portugal et de la Grèce sont touchés par le chômage, en fait par cent de la population en Italie, et donc ne tirent pas profite de cette même compétitivité.
Finalement, dépit quelques difficultés financières, on reconnaît que, en comparaison avec autres pays européens, l’économie française va bien. Quant à la productivité, la France a la plus productivité par tête dans le secteur manufacturier depuis 1996 que l’Allemagne, l’Italie, le Royaume-Uni ou La Suède, selon un graphique qui a été fait en partie par les informations d’Insee. Probablement, elle affiche ces résultats grâce à la baisse des heures annuelles ouvrées par personne ayant emploi en France, selon un autre graphique dans l’article. C’est-à-dire que les personnes ayant emploi ont les travails salaires, et qu’ils ont plus probable de retenir leur travail. Pendant le temps de la crise financière du monde, il faut parler individuellement du pays qui sont influencés par telle crise. Par rapport des autres pays, tout va relativement bien en l’économie française pour l’instant.
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