Tuesday, December 9, 2008

La Bête Humaine


D'abord, les deux oeuvres commencent avec le même cadre qui est la Gare St. Lazare. Tout de suite dans le film, le spectateur voit un train qui roule sur les rails, et, dans le livre, le lecteur reçoit dans la première paragraphe l'idée d'une gare en parlant du personnage, le sous-chef qui fait l'action à ce moment. On a aussi dans les deux oeuvres l'expérience de la "chaleur" et du travail, dans le train avec le feu et les ouvriers qui le nourrissent, et dans l'appartement avec le temps qui fait chaud et le livre qui indique le travail intellectuel. Dans le film et dans le livre, nous n'entend pas de paroles. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a aucune communication ; nous pouvons voir dans le film que les chauffeurs communique avec des gestes bruts, et nous avons l'impression aussi qu'il y a des échanges entre la mère Victoire et le sous-chef, qui semblent avoir décidé ensemble d'ouvrir la fenêtre. 



Ailleurs, ce qui est différent entre les deux oeuvres, c'est la présentation du cadre, de l'action et de la communication. Dans le livre, nous suivons les descriptions comme nous regardons une photo tranquillement, passivement. Nous avons le temps de montrer toutes les petites choses posées sur la table ou de décrire un bâtiment et ses fenêtres comme à la gare. Dans un livre, en décrivant une telle photo à quelqu'un, il faut montrer et expliquer tout pour que le lecteur puisse comprendre la scène et qu'il ait l'impression que l'écrivain veut transmettre. Différemment, le film présente le mouvement et l'action au début. Le train bouge vite, et les actions se déroulent vite car le film est restreint par la durée du temps dans lequel il doit commencer et finir l'histoire entière. Il n'est pas nécessaire de décrire toutes les petits détails parce que nous le spectateur pouvons voir directement ce qui se passe, et à quoi la locomotive ressemble avec le passage des images. 


La présentation du cadre aussi annonce comment l'histoire commence différemment dans le livre et dans le film. Dans le livre, par exemple, nous avons l'impression de calme, que l'histoire se déroule doucement. Aussi avec les descriptions longues, nous nous assistons à une histoire banale. Mais, de l'autre côté, le mouvement dans le film de la locomotive montre toute de suite la fin d'histoire, c'est-à-dire la locomotive qui se dépêche annonce le destin de l'histoire. Ce destin est aussi montré par les rails filmés de l'intérieur du train. Donc, le livre et le film montrent différemment le même cadrage, rendant le début des narrations très différents aussi. 


Les esthétiques sont très différentes dans les deux oeuvres. Premièrement concernant la façon dans laquelle le livre est écrit, Zola a utilisé des longues phrases de description qui présentent l'action et l'histoire très doucement. Il a choisi des mots très précisément pour expliquer la situation exacte. Donc, nous avons l'impression qu'il ait des sentiments doux aussi pour le sujet qu'il décrit, peut-être un type d'amour pour le sujet comme il utilise les adjectifs et les verbes florissants, comme la poésie. Bien sûr il a la rêverie sur la modernité et il trouve la beauté là-dedans avec ses mots. Enfin, ses descriptions sont colorées même si les couleurs était métalliques de gris, du brun, étcetera. Cependant, dans le film, c'est présenté autrement. Le film renonce à la beauté de la modernisation avec la description des scènes. La locomotive, par exemple, montre un côté dur, de la modernisation qui produit les machines brutes, qui sont dangereuses et puissantes. En fait, ses idées de la modernisation sont accentuées avec la présentation en noir et blanc, montrant plus ce qui n'est pas humain, plutôt monstueux. En outre, malgré les différences de présentation de l'histoire, le livre et le film ensemble se reflètent se réalisme, un mouvement artistique, littéraire et idéologique. 

Pendant cette époque, on se concentre sur la modernité et la réalité. Pour les deux oeuvres, ça marche bien de montrer la modernité avec la cadrage de la gare et de la locomotive. Aussi bien, c'est que les deux parlent d'un temps qui peut être réel. Le livre écrit la scène avec les nomes des quartiers qui existaient à l'époque. Le livre aussi décrit la scène comme une carte, et le lecture a l'impression qu'il puisse la suivre jusqu'à l'appartement en temps réel. En outre, le film montre les nomes propres de l'époque, avec le Havre et la Gare St. Lazare, même dans le livre. Donc, la présence du réalisme dans le livre et le film qui s'appellent à la fois La Bête Humaine lie les deux oeuvres avec le cadrage, en dépit des éléments différents dans leurs deux présentations.

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