Les notions d'un état laïc français on commencé pendant la Révolution, une période de temps marquée par le refus de tout associé à l'Ancien Régime, notamment la religion catholique. Après la Révolution, la société française est devenue plus laïque qu'auparavant, notamment se détournant du catholicisme.
Depuis la Révolution, il s'est passé des lois importantes en égard de la laïcité. D'abord, en 1802, Napoléon Bonaparte et le Vatican ont signé un document, le Concordat, qui a reconnu des religions présentaient en France à l'époque, ceux du catholicisme, du judaïsme et du protestantisme. Maintenant, bien qu'ils existent en France, l'état ne reconnaît pas des religions du monde oriental, comme le bouddhisme ou l'islam.
Aussi à l'époque de Napoléon, l'enseignement religieux était offert dans l'école. Mais, en 1882, une loi engagée par Jules Ferry, le ministre de l'Instruction Publique, indique que l'enseignement public devait être à la fois obligatoire, gratuit, et surtout laïc. Bien qu'une faculté de théologie ait eu une présence forte dans les écoles françaises, quatre années plus tard, en 1886m ils ne pouvaient plus enseigner à l'école car les professeurs devaient être laïcs aussi. Maintenant, il existe une loi, aussi engagée par Ferry, qui exige un jour libre chaque semaine à part du dimanche qui donne aux élèves l'occasion de suivre l'enseignement religieux en dehors de l'école publique.
Pourtant, la loi la plus important est la loi de laïcité, passé en 1905, qui exige finalement la séparation de l'état et des églises. En fait, cette loi a rendu les religions secondaires et privées, et a fait nécessaire de se comporter laïquement en public. L'article 19e de la Déclaration des droits de l'homme, accepté en 1948, ajoute, "nul ne soit inquiet pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi."
Il convient à l'état laïc de la France qu'il y a des autres conditions. Premièrement, le 2e article de la Constitution Française dit que la République ne reconnaît ne salaire, ni ne subventionne aucun culte. Depuis la loi de 9 décembre 1905, les Églises sont privées et donc sont responsables fiscalement pour elles-mêmes. Une exception de ce deuxième article est que les collectivités publiques paient pour la conservation des églises construites avant 1905, qui ne sont pas considérés comme des subventions mais des travaux nécessaires et culturels. En plus de cela, il existe des baux emphytéotiques qui permettent aux communautés de soutenir les cultes en cédant des terrains pour construire les endroits de prière.
Deuxièmement, même si elles profitaient de ce programme public, les cultes ne peuvent pas non plus constituer une activité de service publique. En outre, pendant leur acte de service publique, il est interdit que les fonctionnaires manifestent leurs convictions religieuses. À la fois, "aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut pas être faite entre fonctionnaires en raison de leurs opinions politiques, syndicales, philosophiques ou religieuses, de leur origine, de leur orientation sexuelle, etc." Heureusement, dans le Préambule de 1946, la loi dit "nul ne peut être lésé, dans son travail ou dans son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances." Cette loi semble être acceptant des autres idées, et exprime tolérance pour tous, pour les immigrés en particulier. Or, par conséquent, les employeurs évitent souvent d'engager telles personnes puisqu'ils ont le droit de sélectionner ce qu'ils veulent.
Troisièmement, et malheureusement, la laïcité en France crée aussi des problèmes d'intégration pour ces immigrés en France, surtout pour les musulmans. À cause de l'état laïc, les musulmans en particulier se sentent au-dehors de la société française. Bien qu'il existe depuis qu'ils ont commencé à venir en France, le problème a fait surface en 2004, où Jacques Chirac a engagé une loi qui était vite adoptée, qui interdit le port de symboles religieux ostentatoires dans les institutions scolaires laïques, surtout interdisant le foulard islamique, le hijab que mettent plusieurs des musulmanes.
Maintenant, Nicolas Sarkosy partage l'avis avec Napoléon et son Concordat, qui dit aussi que la société dépende sur la religion. Sarkosy, pourtant, veut modifier la loi de 1905 en ajoutant quelques détails. En particulier, il exige que toutes les religions soient respectées, tolérées, et qu'elles ont un propre endroit pour observer la religion. Il ajoute que la loi de la liberté de conscience garantit l'existence des lieux de cultes, et que les communautés doivent avoir la capacité de soutenir ces cultes s'ils le désirent. Ses idées reflètent les valeurs partout l'Europe, où il existe la sécularisation qui continue à remplacer les customs historiquement religieux, et qui domine leur sociétés.
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