Tuesday, December 30, 2008
Avant et Après
Monday, December 15, 2008
Tabac



Tuesday, December 9, 2008
La Bête Humaine





Monday, December 8, 2008
La Laicité en France
Thursday, December 4, 2008
Les Midi-Pyranées

L’histoire des Midi-Pyrénées est très variée car la région était habitée par plusieurs des gens à travers les siècles. Par exemple, en 200 après Jésus-Christ, les Midi-Pyrénées sont occupées par les Romans, sous l’Empire Roman prospère. Après l’invasion des barbares en France, entre le IIIe et le Ve siècles, la capital Toulouse était aussi la capital du royaume Wisigothe. Bientôt, en 507 les Wisigothes ont perdu la région aux Francs dans la bataille de Vouillé. Puis, en 561, les basques ont pris le contrôle de la région ; cependant, les Francs l’ont prise encore, faisant la région la Duché de Gascon. Ensuite, en 801, Charlemagnes a augmenté l’espace de la région en prisant la Catalane de l’Espagne. Plusieurs années plus tard, en 1271, Toulouse est redevenue française et avec le mariage d’Henri de Navarre, ou Henri VI, avec la fille de Catherine de Médicis, Margot, la Navarre est devenu territoire française aussi. Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, les Midi-Pyrénées étaient aussi un endroit important car il s’y est passé les événements du mouvement de la Résistance Française. Pendant le XXe siècle, il y avait des nouveaux développements technologiques dans les Midi-Pyrénées qui aident à mettre la France comme un des pays plus évolué.

La population de la région fait uniquement 4,08 pour cent de la population française entière. En général, la population de la région a diminué plus que 30 pour cent avant les années cinquante. Entre 1962 et 1999 la densité régionale est passée de 47 à 56 habitants par kilomètre carré. Malheureusement, maintenant la proportion est entre 25 à 60 habitants par kilomètre carré, qui sont une des densités plus basses en Europe Occidentale. À la campagne, il n’y a plus beaucoup d’habitants, bien que cette région soit connue pour l’agriculture, et bien, la vie tranquille. Plutôt, la plupart de la population aux Midi-Pyrénées habite à Toulouse, la capitale de la région. Là-bas, la population est plus jeune, et il y a 3 500 habitants par kilomètre carré à Toulouse. On voit maintenant, avec la développement du monde, plusieurs personnes préfèrent d’habiter dans une ville qu’à la campagne. Aussi, on trouve plus de travail dans une ville comme Toulouse, alors qu’à la campagne il y a plus des métiers qui correspondent à l’agricole. Donc, c’est peut-être à cause de cela que Toulouse est plus peuplé que les autres villes des Midi-Pyrénées.
Puisque les Midi-Pyrénées sont composés par le paysage, son économie est basée sur l’industrie d’agriculture. Il y a 60 000 fermes aux Midi-Pyrénées, et 2,6 millions hectares de la terre qui sont utilisés pour l’agriculture. Les produits qui sont plus cultivés là-bas sont du maïs, du blé, et il y a aussi des fermes d’élevage de moutons. Sans oubliant qu’il y a plein des vignobles partout la région, la région est connue pour les vins très délicieux. Il est rapporté que les Midi-Pyrénées reçoivent autour 4,6 billions euro chaque année grâce à l’agriculture. Par conséquent, la nourriture est vraiment importante dans les vies des Midi-Pyrénéens, et donc, ils sont reconnus pour le fromage de Roquefort qui est un fromage bleu du lait de la brebis rouge de Lacaune.

D’un autre côté, les Midi-Pyrénées sont aussi connus pour les industries technologiques. En 1968 il y avait la création du Centre spatial du CNES à Toulouse, et en 1969, le Concorde, le plus vite l’avion de cette époque, était établi aux Midi-Pyrénées. Aujourd’hui, l’industrie spatiale emploie plus de 57 000 personnes. La préfecture de l’Airbus est aussi trouvée là-bas en plus de EADS, Alcatel, Siemens, Bosch et Pierre Fabre. Grâce à l’industrie florissant aux Midi-Pyrénées, et la technologie évoluée, les revenus sont plus hauts à Toulouse qu’autres parties de la région. Il y a un PIB de 87 915 billions euros pour 2 755 000 personnes. Malheureusement, il reste toujours le chômage qui consiste de 8,9 pour cent de la population. Il y a moins de personnes qui veulent continuer le métier de l’agriculture, et c’est dommage parce que la plupart de la région est composé des fermes. Les personnes veulent aller à la ville, où il y a beaucoup de compétition pour atteindre un travail, et donc, le chômage augmenter quand ils ne peuvent pas les trouver.

Le climat dans les Midi-Pyrénées est très agréable. Une des plus ensoleillés régions en France, elle a 2000 heures de soleil par année. Entre 60 et 80 jours d’année, il fait plus que 25 degrés Celsius partout la région. Le printemps vient plus tôt et souvent, la température ressemble lequel de l’été. Entre avril et juin, il fait entre 16 et 24 degrés Celsius, et entre juillet et août, on profite de la chaleur parce qu’il fait entre 26 et 28 degrés Celsius. Pendant l’automne, les Midi Pyrénéens profitent de l’été de la Saint Martin, avec beaucoup de soleil et moins d’humidité. Mais on peut trouver la neige aussi, qui couverte les montagnes pendant les hivers. Donc pendant l’année, les Midi-Pyrénées ont des longs étés qui sont pour la plupart chauds, et les hivers qui sont essentiellement doux. Mais il y a aussi de la pluie dans la région à cause de la location entre la mer et les montagnes. Quand l’air de la mer qui est humide et chaud monte, il devient froid à cause de la proximité proche des montagnes, la vapeur d’eau se condense et il commence à pleuvoir. Bien qu’il y pleuve de temps en temps, c’est grâce au climat agréable que les Midi-Pyrénées constituent un endroit attractif pour faire du ski, faire une randonnée, aller à la plage, ou pour seulement profiter de la nature très belle.

Car les Midi-Pyrénées ont une histoire variée de gens qui y habitent, c’est important de savoir comment cette région est unifiée culturellement. Surtout, ce qui les unifie sont les langues traditionnelles de l’Occitan et du Gascon. Le Gascon vient de l’ouest et sud-ouest de la région, alors que l’Occitan vient de l’est. Généralement, on n’utilise pas encore ces langues, sauf que les seniors qui les parlent, mais on voit leurs traces sur le dialecte du Français parlé dans la région. Surtout, il existe les expressions idiomatiques dans le dialecte qui ne sont pas compris au-dehors du sud-ouest. Aussi ce qui met les gens ensemble est le désir de vivre « la bonne vie de tranquillité, » qui est surtout un désir de la culture française. Autrement, les Midis Pyrénéens partagent les sentiments de fierté de leur culture collective. Pendant l’année, ils organisent les fêtes, foires et marchés pour accueillir les gens, et célébrer ensemble leur histoire unique. Par exemple, la fête médiévale du Grand Fauconnier est organisée à Courdes pendant le mois de juillet. Faisant une grande partie de leur histoire, le catholicisme a une présence forte dans la région. Dans leur mentalité, l’église catholique dirige la vie quotidienne pour beaucoup de Midis Pyrénéens. Physiquement, le Saint-Sernin de Toulouse est la plus grande église du Catholicisme Roman en France qui était au bord de la route de pèlerinages. Aujourd’hui, elle garde la plupart des reliques religieuses qu’a la France, donc elle attire beaucoup des touristes aussi que les croyantes.

Bien qu’il n’y ait pas beaucoup de gens qui habitent dans les Midi-Pyrénées, la région attire les visiteurs grâce à sa location et des lieux qu’on y trouve. Suivant l’importance de la culture dans la région, on peut visiter des lieux d’art uniques à sa location. Dans le département d’Ariège, il y a des peintures du mur dans les grottes de Niaux qui datent de 11 500 avant Jésus-Christ, ou ailleurs, il y a plus des grottes à Garges, qui sont dans le département de Haute-Garonne. Intéressante, dans ce même département, on trouve Toulouse, la plus grand et plus évolué des villes dans la région. Tout autre, la région est très populaire pour les sports, comme la randonne, le faire de la planche à voile, ou le ski. Car la région est située en part dans les montagnes, dans les Hautes-Pyrénées, les visiteurs y font du ski, et aussi se baignent dans les spas naturels qui se trouvent à Barèges. On dit que ces spas sont capables de guérir les maladies légères. En outre, il y a plusieurs des châteaux et de l’architecture Roman, médiéval ou gothique dans la région, surtout des églises ou des cathédrales anciennes. Par exemple, située dans les Hautes-Pyrénées est Lourdes, une arête sur la route des pèlerinages catholiques à St Bernadette. Pour une anecdote, pendant le XIXe siècle, il y avait une fille, Bernadette Soubirous, qui dit qu’elle voit la Vierge Marie dans une petite grotte près d’une source qui paraît faire des miracles. Donc plusieurs de touristes visitent la grotte aujourd’hui pour le voir. Évidemment, il y a plein de choses touristiques à faire dans cette région de la France.
Les personnes très marquées des Midi-Pyrénées sont les Basques qui habitaient dans la partie de la région qui est aujourd’hui connue comme la Navarre et l’Aragon. Ils constituent la plus vieille civilisation qui vivait là-bas et qui existe encore. Ils sont connus pour l’agriculture qui est conduite par chaque famille spécifique. Ils parlent une langue qui s’appelle Euskara, et aujourd’hui seulement 25 à 30 pour cent des personnes qui habitent aux Midi-Pyrénées peuvent le parler. Ils se distinguent avec leur culture et leur langue, et ils sont très fiers de leur nationalité. D’un autre côté, il n’y a pas beaucoup de personnes qui sont vraiment célèbres maintenant qui viennent des Midi-Pyrénées, mais il y a quelques personnes qui sont connues et qui sont important partout la France. Par exemple, Jean Jaurès, qui est devenu le chef du parti socialiste en 1902 était né à Castres, dans la région des Midi-Pyrénées. Il y avait aussi André Dacier qui était né dans la région, et qui avait eu une chaise dans l’Académie Française.


En fait, il y a beaucoup d’histoire qui existent aux Midi-Pyrénées, et qui avait donnée beaucoup d’influence au pays français. C’est vraiment une des plus belles régions de la France, et il a beaucoup de choses à offre à propos de la nature, la nourriture et la culture spécifiques. C’est essentiel qu’on aille le visiter.
Sharon Strom
Donya Bouzarjomehri
Bibliographie
Midi-Pyrénées : Guide du tourisme, industriel et technique. Solar, 1999 Paris
Kustos, Norbert, Pierre Ripert. Pyrénées. Jean-Claude Lattès, 1991 Germany
Autié, Dominique, Jacques Sierpinski. Pyrénées : La France Vagabonde. Rando S.A., 2000 Toulouse
Didon, Catherine, Philippe Moitron. Châteaux de Midi-Pyrénées. Patrimoines et Médias, 1997 Toulouse.
Mazzella, Léon. Villages Pyrénéens. Milan, 1995, Toulouse.
Valat, Jacques, Marcellin Bérot. Pyrénées Paysannes. Milan, 1993, Barcelone.
Monday, December 1, 2008
Islam en France

L’Islam en France est un enjeu compliqué. Pour commencer, on ne sait pas exactement combien de musulmans habitent en France maintenant car le gouvernement français a accepté une loi qui proscrit les sondages basés sur la race ou l’ethnicité. Mais, c’est uniquement le début des obstacles par rapport au sujet de l’Islam en France. Pour un groupe de croyants qui constitue la deuxième plus grande des religions en France après le catholicisme, les musulmans ont de la difficulté à s’intégrer dans une culture occidentale en préservant les valeurs de l’Islam traditionnel. Ce problème existe à cause des politiques menées passées et actuelles, et de la société française.
La plupart des musulmans en France sont immigrés de la 1er, 2e ou 3e génération, venant de la Turquie, du Sénégal, de l’Afrique du Nord, quelques pays colonialistes de la France, mais aussi du Moyen-Orient. Ils sont venus en France en partie à cause du programme politique de l’immigration de travail, un programme qui a encouragé les immigrés à venir en France uniquement pour faire le travail que les Français ne veulent plus faire, mais qui ne les encourage pas à s’y installer. Cependant, pendant une période courte, la France a ouvert ses portes aux immigrés avec la politique de rapprochement familial qui les encourage à s’installer en France avec leurs familles. Donc, il y a beaucoup d’immigrés musulmans en France. Malheureusement, quoi qu’ils habitent en France, les musulmans ne sont pas toujours bien intégrés dans la société française à cause de certains sentiments négatifs envers les immigrés en général. La France a toujours peur de la perte de ce qui est « français » et donc elle hésite à vite accepter les immigrés dans leur pays. Ainsi, il existe du racisme qui empêche les musulmans d’être bien accueillis en France. De l’autre côté, les musulmans sont assez réticents à s’intégrer dans une autre culture qui a colonisé leurs pays. La première génération d’immigrants qui sont en France trouvent que c’est hypocrite d’habiter parmi les descendants des colonialistes, et d’oublier les événements qui se sont passés dans leurs pays natals.
Puisque ces causes de mauvaise intégration existent, c’est en gros à cause de l’état laïque que les musulmans se sentent au-dehors de la société. Après la Révolution, la société française est devenue plus laïque qu’auparavant, se détournant du catholicisme qui était associé à l’Ancien Régime. Ensuite, la loi de 1905 a exigé la séparation de l’État et l’Église, rendant l’état de la France laïque. En fait, cette loi a rendu les religions secondaires et privées, rendant nécessaire de se comporter laïquement en public. Comme la France est une République, cette loi n’a pas empêché que tout le monde a le droit de pratiquer la religion de son choix. Le problème est apparu en 2004, où Jacques Chirac a interdit le port de symboles religieux ostentatoires dans les institutions scolaires laïques, surtout le foulard islamique, le « hijab » que mettent des musulmanes. Après cette nouvelle loi, il y a deux côtés par rapport elles qui portent le hijab habituellement. Des filles qui le portent simplement enlèvent le hijab quand elles entrent dans l’école, et le remettent quand elles en sortent. D’autres filles vont aux écoles religieuses, où elles peuvent le porter tout le temps. Du côté un peu plus négatif, certaines musulmanes se sentent forcément exclues de l’école publique, un problème qui ajoute au sujet de l’intégration. Ainsi, le symbole religieux du « hijab » devient aussi le symbole d’immigration et de l’intégration en quelque sorte.
Pour les musulmans habitant en France, la société française a nettement d’influence sur leur religion. Beaucoup de français ont des sentiments négatifs qui sont basés sur le stéréotype que l’Islam produit les musulmans fondamentaliste, qu’ils croient constituer une menace sur la société française ; ce qui est faux. Au contraire, les musulmans en France, surtout ceux qui sont nés en France, pratiquent un Islam plus moderne que leurs parents, qui est en fait un changement inspiré en partie par la présence de la culture française laïque. Par exemple, les musulmanes portent de moins en moins le « hijab » en public. De plus, les principes de l’Islam représentent pour certains, un système de valeurs plutôt qu’une religion qui dirige leurs vies. Par conséquent, ce groupe de « Nouveaux Musulmans » rend la religion plus individuelle et privée que la religion de leurs parents et que la religion traditionnelle. Ainsi, ils ont redéfini l’idée d’un « croyant(e) » d’inclure des personnes qui reconnaissent la valeur de la religion, mais qui ne la pratiquent pas, à cause de la laïcité en France. Avec un tel changement de culture, il y a toujours des problèmes d’identité, puisque les personnes ne se sentent pas les musulmans ni Français, mais entre les deux identités. Or, ces nouveaux musulmans essayent de trouver un Islam « en français » qui n’existait pas avant.
Malgré quelques difficultés, en fait l’Islam commence à influencer et changer la France aussi. Bien sûr, reconnaissant l’existence de l’Islam en France, il faut construire une place pour les musulmans dans la société française. Donc, il est nécessaire qu’il apparaisse de plus en plus des endroits de prière supplémentaires où ils pratiquent leur foi. Également, plusieurs d’organisations ont été créées afin de protéger la religion traditionnelle tout en faisant attention aux besoins politiques, sociaux ou religieux des musulmans en France. Par exemple, il existe des organisations qui encouragent l’éducation musulmane qui est en accord avec les règles de la société française. De plus, il y a quelques français qui sont tellement attirés par les valeurs de l’Islam qu’ils ont envie de se convertir, bien qu’ils appartiennent à une autre religion. Enfin, les musulmans en France ont essayé d’améliorer les relations entre la société française et eux, et améliorer leurs vies en France, ou bien de s’intégrer dans une culture qui ne les accepte pas facilement. Évidemment, l’Islam en France change la politique et la société françaises qui devront les accepter en redéfinissant le mot « fraternité » dans leur pays d’immigration.
Tuesday, November 25, 2008
Inspirée par les monstres...

Il était deux heures du matin, et Marie était assise devant son miroir, comme chaque nuit, se préparait à se coucher.
« Quelle soirée magnifique ! pensait-elle avec un sourire en laissant tomber ses cheveux. »
Son petit ami, Jean-Pierre, l’avait invité à aller à l’opéra italien qui s’appelait La Cenerentola et qui jouait uniquement pendant une nuit à Paris. Ça avait été la première fois qu’elle était allée à l’opéra. Elle avait été presque hypnotisée par les voix des chanteurs dont les costumes riches avaient incarné la fantaisie d’un autre monde. Après la fin du spectacle, la nuit venait de commencer. Jean-Pierre et elle étaient allés dans un restaurant où ils avaient mangé des plats délicieux et ils avaient bu trop de vin. Puis, ils étaient allée au bal où ils avaient dansé pendant des heures. Elle avait trouvé une telle soirée avec lui charmante et inspirante, une de celles dont elle avait rêvé depuis longtemps.
Certes, dès qu’elle avait rencontré Jean-Pierre, sa vie avait été tellement changée. Elle venait d’une famille paysanne, et elle habitait dans une petite maison de bois dans une ville peu connue dans le sud de la France. Il y a six mois à la campagne près de chez elle, il l’a vue travaillant dans la petite boulangerie de son père, et ça avait été le coup de foudre. Elle avait déménagé à Paris pour être plus proche de lui, et elle restait depuis avec sa tante. À Paris, elle vivait une vie pleine de beauté et de richesse grâce à Jean-Pierre. À la fin de la soirée, il commençait à pleuvoir. Ils se sont dit « bonne nuit » et elle est rentrée chez sa tante où elle a vite monté l’escalier de sa chambre.
Balayée par toutes ses émotions de joie et d’amour, elle s’est levée, et elle s’est mise à faire semblant de danser avec lui pendant qu’elle fredonnait une petite chanson. Elle pensait qu’elle était la plus heureuse possible.
Soudain, il y a eu un claquement sur la porte. Son cœur a sauté ; qui était là à une telle heure ! Elle a ouvert la porte.
« Tiens ! Jean-Pierre, que faites-vous ici ? »
Il était trempé de pluie et à genoux, il respirait profondément et sa main s’est cramponnée au cadre de porte. Il a ouvert de grands yeux presque hypnotisés, et il a regardé Marie avec peur.
« Je suis malade ! » il a crié pendant qu’il s’est saisi de sa main, et essayait de se lever.
« Venez ici et se reposer sur le lit. » Elle l’a soutenu vers le lit, où il s’est couché, épuisé. « Qu’est-ce qui s’est passé ? »
Avec beaucoup d’effort, Jean-Pierre a commencé de raconter son histoire effrayante. « J’étais à l’extérieur devant sa porte. Nous nous sommes dit « bonnes nuits » et vous, vous êtes déjà parti. Moi, je restais devant la porte parce que… » il respirait très difficilement. « J’avais perdu mon courage, et j’étais en train de partir. Tout à coup, quelque chose m’a emparé fort et m’est mordu sur le cou ! » Il a tourné sa tête et il a montré son cou à Marie. Il y avait deux trucs d’où son sang ruisselait un peu.
Marie avait beaucoup de peur. « Oh là-là ! Qu’est-ce que c’est ? Quel monstre pouvait le faire ? » elle a demandé.
« Je ne sais rien. Quand je me suis réveillé, j’étais sur la terre mais encore devant sa porte, et je n’ai vu personne. » Chaque mot semblait à voler plus de sa vie. « Puis, soudain, je me sentais le plus malade que jamais, comme j’étais en train de mourir, et je ne pensais qu’à toi. » Il lui regardait avec les yeux mouillés, toujours à bout de souffle.
« Marie, » il a commencé gravement, « j’avais envie depuis longtemps de vous poser uniquement une question, » il a dit à voix basse. Il ne respirait vraiment plus.
Marie avait attendu de ce moment depuis toujours, mais elle ne s’était jamais attendue la pire. Il sera mort avant qu’il puisse le dire, elle pensait.
« Non, mon cher, s’il vous plait, ne dites rien. Bien sûr j’accepte. » Avec ses mots, Jean-Pierre a fermé ses yeux, et il a respiré de la vie la dernière fois.
Marie a fondu en larmes, baissant sa tête sur la poitrine de lui. Elle a perdu l’homme de sa vie, qu’elle aimait fort et elle était le plus triste que jamais. Elle restait comme ça pour longtemps, elle pleurait sans cesse sur le corps inanimé de son amour.
Soudain, elle s’est senti sa tête est levée et est baissée, à cause d’une aspiration. Elle a sauté vite, choquée, et elle avait les yeux incrédules. Mais ce n’était pas possible ! Il était encore vivant ? Elle le regardait pendant que Jean-Pierre a aspiré une fois plus forte. Si, si, il est vivant !
Il a ouvert ses yeux, mais ce n’était plus Jean-Pierre, mais plutôt un monstre horrible. Il l’a regardé avec une grimace terrifiante, et il a posé sa seule question.
« Voulez-vous me joindre dans cette maladie, Marie ? »
Elle a fait un cri terrible, pendant qu’il l’a prise dans ses bras, et il l’a dévorée complètement.

Les Amies de la Famille : Ma Rencontre Autour de la Table de Dîner
Il y a deux semaines, j’étais invitée à une soirée magnifique avec ma mère d’accueil et sa collègue et amie, Florence. Nous allions dîner ensemble et puis aller au concert de jazz. C’était ma première invitation d’une vraie Française, et j’attendais avec impatience toute la semaine ce rendez-vous.
Ce soir-là, j’ai pris le train vers les banlieues de Paris, jusqu’à Enghien-les-Bains, d’où ma mère d’accueil m’a amené en voiture chez Florence. Elle avait préparé des petits hors-d’œuvre et elle avait acheté une bouteille de champagne pour l’occasion. Nous avons pris une petite pause pour manger un peu et boire un peu plus, et ensuite, nous sommes allées au concert de jazz. Le concert, un trip de guitares, durait pendant une heure et demie, parmi des peintures inspirées par ce type de musique. Ensuite, nous sommes rentrées chez Florence où nous avons dîné toutes les trois. C’était une soirée magnifique, et je me suis bien amusée avec ma mère d’accueil et Florence.
En fait, c’était la troisième fois que je dînais avec les deux femmes. La première fois que j’ai rencontré Florence, j’étais chez ma mère d’accueil, et nous n’avons bu qu’un verre de vin toutes les trois. La deuxième fois, nous avons dîné ensemble chez moi, à la française, c’est-à-dire dîner en trois parties pendant longtemps et avec beaucoup de vin. La troisième fois, elle m’a invité chez elle pour une soirée inoubliable. Chaque fois, nous nous connaissons de plus en plus, et nous devenons plus amies. Après ces trois « dîners, » je connais mieux ce qui est un ami « à la Française. » Je ne me souviens pas comment je l’ai appris, mais dans mes études de la culture française, j’avais trouvé que, en France, un ami est plus que quelqu'un qu’on connaît bien. Il me semble que les amis français soient très fidèles et qu’ils se sont redevables toujours. Ainsi, il me semble que le temps de connaissance dure longtemps pour que les personnes deviennent bons amis. Pendant ces moments passés avec elles, je me suis rendue compte que la fidélité et la dette d’amitié existent vraiment dans la société française. Je me souviens du proverbe Balti, « The first time you share tea with a Balti, you are a stranger. The second time you take tea, you are an honored guest. The third time you share a cup of tea, you become family. » Après ces trois rencontres avec Florence, je me sens partie de cette famille « à la française. » Je comprends mieux ce que je dois aux amis, et maintenant, je la regarde comme une valeur extraordinaire.
Monday, November 17, 2008
L'économie française
L’état de l’économie française, selon les articles, semble d’être un sujet complexe. Il y a plusieurs de facteurs qui ajoutent de l’amélioration d’une économie, par exemple, le taux de chômage, les tarifs de production, ayant les déficits ou les excédents. Dépit la France, comme les autres pays de l’Union Européenne, a ses propres obstacles, on dirait qu’elle n’a pas la meilleure économie, ni la plus mauvais. Tout de même, elle garde l’équilibre et elle essaie d’améliorer l’état de l’économie. Pour mieux comprendre, j’avais consulté autres documents concernant l’économie française. Pour réaliser cette synthèse, il faut que je cite tous les faits et les idées viennent des articles de Le Monde présentés dans la brochure.
L’économie française ne reste pas toujours éclatante de santé. Depuis 1990, le nombre des RMIstes, qui reçoivent une allocation de l’état pour leurs difficultés, et chômeurs, qui n’ont pas emploi, augmentent ensemble jusqu’à l’année 2003 où le nombre des RMIstes commence à diminuer, selon le graphique « Les performances controversées de l’Hexagon. » C’est dur pour la France à payer en raison de leur déficit budgétaire. Quoique Allemagne ait un excédent de 13,9 milliards d’euro, la France a un déficit de 4,8 milliards d’euro. Pareil, le déficit énergique française a augmenté par 23,6 milliards d’euros. Bien comme en Amérique, entre 2002 et 2006 le prix du pétrole en France a doublé, selon Le Monde. Tout irait mieux en France et bien en Amérique s’ils essayaient imiter l’économie forte de la Norvège, qui ne fait pas partie de l’Union Européenne. Elle augure de recevoir sept milliards d’euro supplémentaires à cause de l’augmentation du prix de pétrole, alors qu’elle n’a pas plus de 2,4 par cent de chômage. Une interview avec Jean Arthuis, le président de la commission des finances du Sénat et le ministre de l’économie, ajoute à ce discours. Il dit qu’il y a une tendance de perte ou suppression d’emplois ; par exemple, récemment 4 000 chez Renault, une marque de voitures française, et 1 million chez Insee entre 1990 et 2007, une industrie française. Rajoutant de ce problème, il existe la délocalisation de production, c’est-à-dire la production des choses françaises hors du territoire français. Arthuis cite par exemple un sur trois des voitures françaises ont été faites ailleurs en 2001. Il raison « pour rester compétitifs, les industriels sont incités... à produire hors du territoire national, là où n’existent pas les mêmes contraintes administratives, fiscales et sociales. » Il suggère que le pouvoir d’achat accroisse si on produit collectivement plus. En outre, il suggère de diminuer les tarifs sur la production et de subventionner, ou soutenir financièrement, les entreprises.
Malgré ces indicateurs de difficulté économique, la France n’est pas la pire de l’Union Européenne. Par exemple, en Espagne et en Ireland, à cause de la crise financière, la croissance en égard au chômage continue à grimper, comme milles d’emplois sont perdus. En plus, les deux pays avec les Etats Baltes, tous ensemble combattent les résultats négatifs de l’inflation à cause de leur taux de change fixe par rapport à l’euro, selon Le Monde. À l’autre côté, quelques pays dans l’Union Européenne comme la France, la Pologne et le République tchèque par exemple pratiquent un taux de change flexible par rapport à l’euro, et leurs économies profitent bien. En outre, on voit que les entreprises dans les vingt-sept pays de l’Union Européenne bénéficient de la compétition parmi eux et d’ailleurs. Tandis que les entreprises françaises et allemandes profitent de la compétitivité (bien que les entreprises et l’économie allemandes sont supérieures compétitivement de ceux de la France), ceux de l’Italie, du Portugal et de la Grèce sont touchés par le chômage, en fait par cent de la population en Italie, et donc ne tirent pas profite de cette même compétitivité.
Finalement, dépit quelques difficultés financières, on reconnaît que, en comparaison avec autres pays européens, l’économie française va bien. Quant à la productivité, la France a la plus productivité par tête dans le secteur manufacturier depuis 1996 que l’Allemagne, l’Italie, le Royaume-Uni ou La Suède, selon un graphique qui a été fait en partie par les informations d’Insee. Probablement, elle affiche ces résultats grâce à la baisse des heures annuelles ouvrées par personne ayant emploi en France, selon un autre graphique dans l’article. C’est-à-dire que les personnes ayant emploi ont les travails salaires, et qu’ils ont plus probable de retenir leur travail. Pendant le temps de la crise financière du monde, il faut parler individuellement du pays qui sont influencés par telle crise. Par rapport des autres pays, tout va relativement bien en l’économie française pour l’instant.