Saturday, October 25, 2008

Friday, October 24, 2008

Impressions du Réalisme : Une Analyse de Sur la Plage de Edoard Manet



Edouard Manet est un peintre très célèbre dans le monde de l'art. Sa peinture Sur la Plage fait en 1873 est une de ses oeuvres qu'on trouve dans le Musée d'Orsay à Paris. Dans cette peinture, il y a une femme et un homme qui sont assis sur le sable au bord de la mer. Elle lit un livre pendant qu'il regarde quelques bqtequx à voiles qui passent. Dans ce dossier, je vais parler des éléments plastiques, ensuite des éléments stylistiques, et enfin de l'artiste et des mouvements réalistes et impressionnistes. 

D'abord, les seules figures dans cette peinture se trouvent en premier plan, assez proche du spectateur, où elle est plus proche que lui. La vue semble que le spectateur voit assez loin dans l'image, mais le regard du spectateur reste sur le même niveau que les figures, et il a l'impression d'être assis avec le couple. À propos de la composition, les corps de ces figures sont situés en forme de V, quelque chose dont je parlerai dans la deuxième partie. Les lignes générales dans la peinture sont plus horizontales que verticales. Il y a trois grandes lignes visible près de l'horizon qui sont définis par les couleurs bleu et bleu claire, bleu verdâtre et beige jaunâtre. La femme, avec les bateaux à voiles, fait uniquement la ligne verticales. Il y a aussi les lignes qui décrivent les détails dans l'image qui ne sont pas très définies. On a l'idée des plis dans le tissu de sa robe ou son costume, et pareille, on voit la blancheur de l'écume des vagues, mais toujours ce que Manet a fait est avec la touche visible dont je parlerai tout de suite. En parlant plus des couleurs, elle sont froides dans la lumière naturelle, ça veut dire que la lumière ne vient pas d'un endroit spécifique mais de partout. Ces couleurs sont ce qu'on anticipe comme couleurs du sable ou de la mer. Elles sont presque locales, mais on peut voir que la blanche du bonnet d'elle  par exemple, est faite avec le bleu et le jaune principalement, que est un aspect des peintures impressionnistes. Donc les couleurs dirigent la composition et les lignes moins définies, pas le dessin, dominent l'espace dans la peinture. Généralement, le temps de cette scène représentée est un de temporalité, une autre indicateur de l'impressionnisme. Bien que les figures semblent confortables, étant reposés pendant quelques heures sans doute, on a l'impression qu'ils sont en train de se lever et partir de la plage. En raison de ces éléments plastiques qui ont été présentés auparavant, en particulier les couleurs qui définent l'espace et la temporalité de la scène, c'est évident que le style de cette peinture est impressionniste. 

Cependant, Manet a représenté la vie quotidienne dans l'image, en fait, qui est une caractéristique du réalisme. Les deux personnes reposent au bord de la mer, mais il ne se passe rien d'exceptionnel. À propos des personnages représentés dans l'image, ils sont Monsieur et Madame n'importe qui, et donc cette peinture n'est pas un portrait. Dans la scène, ils sont ensemble, mais ils restent immergés dans leurs propres pensées. Il ne se connectent pas du tout, une idée renforcée par les bateaux à l'arrière-plan qui divisent la compostion en deux. L'homme n'est pas trop loin de la femme physiquement, mais il est loin d'elle mentalement quand même. Pourtant, le spectateur reste dans le premier plan avec eux, presque entre les deux à cause des couleurs plates, et il peut voir dans l'intimité de la scène. Dans cette façon-là, on voit que les personnages sont vraiment ensemble. En plus, la couleur en général dirige la direction d'oeil. Qu'on a dit avant, les deux corps se disposent en créant une forme de V. La direction de l'oeil berce doucement entre les deux, comment font les vagues. On commence dans le premier plan à la droite de la peinture avec la couleur du bonnet d'elle qui est la couleur plus vive, on continue à suivre la courbe de son corps vers son pied, et, on remonte les bras de l'homme et sa tête à gauche. Ensuite, on se retourne en continuant la droite puis la gauche vers la plage, le sable, l'eau et on finit vers les bateaux à voiles et l'horizon à l'arrière-plan. Ce mouvement suggère un balancement tranquille entre les deux figures, et on a la sensation d'être sur un bateau sur la mer. À partir de cela, le spectateur ajoute autres choses d'expérience de la peinture, grâce à la touche de l'artiste. Les détails de Manet, comme on voit dans les plis du tissu ou dans les vagues, sont faits avec une main pressée. En particulier, avec le mouvement du pinceau, on peut voir comment le vent souffle en regardant la voilette qui couvre le visage de la femme, peut-être pour protéger son visage du sable, qui flotte dans l'air ver la même direction que vont les bateaux à voiles, et aussi en regardant les feuilles du livre qu'elle lit. De tout façon, Manet aussi crée avec sa touche les bruits qu'on trouve à la plage, et le spectateur ajoute le son des vagues qui retrouvent la plage rythmiquement, construisant une image réelle avec la touche impressionnant. 

À ce moment, on voit que le style de Sur la Plage est impressionniste, mais au même temps, le sujet présenté est réaliste. Il semble contradictoire à avoir les éléments de chaque style, mais en fait, ils sont en accord avec l'histoire du peintre. L'histoire de l'art attribue à Manet de la transition entre le réalisme et l'impressionisme. Ce qui est intéressant au sujet de sa technique, c'est que Manet travaillait encore avec l'huile sur toile, un méthod qui prend du temps pour sécher. Avant, les impressonnistes ont changé d'acryliques pour peigner plus rapidement, et saisir la lumière dans un moment exacte. Étonnamment, Manet a construit une image vivant et réaliste dans le style d'impressionnnisme avec l'huile sur toile. C'est ce que je trouve la plus remarquable de cette peinture.

Tuesday, October 21, 2008

Films Noirs


Le film américain T-Men a été réalisé par Anthony Mann en 1947. Il est fait partie du genre du film noir, un style américain qui était beaucoup influencé par les films allemands, comme Nosferatu par exemple. Ce film parle du mythe du gangster, un mythe populaire et nouveau depuis les années trente. Dans ce dossier, je vais présenter ce qui se passe au début du film T-Men, en développant le mythe du gangster et en analysant comme tou cela est montré dans le film.


L'histoire commence avec une interview du chef du Trésor qui joue le rôle du narrateur pendant la première séquence. Il parle du passé, montrant que c'est une histoire fermée, et que tout est contrôlé au présent - il ne reste pas de problèmes avec les gangsters parce que le mal a été éliminé. Le chef joue le rôle d'enseignant pour les gens, car il raconte une histoire de crime qui montre ce qui est interdit, et il assure aux gens avec son histoire au présent que tout va bien à ce moment. Il montre le monstre, ou le mal, pour moraliser les gens aussi. 


L'histoire qui'il raconte se passe dans une ville et dans la nuit. Ce sont des symboles du mythe du gangster, dont l'origine vient de la Bible. Caïn, après avoir tué sont frère Abel, il s'enfuit du regard de Dieu pour ne pas être puni, et il se cache dans une ville qu'il a créée dans la nuit. Cet endroit est important particulièrement dans T-Men parce qu'il est lié avec le mythe du gangster. Dans ce film, un agent des services secrets a organisé un rendez-vous avec un informateur du gang de mal. L'informateur est en train de retrouver l'agent des services secrets quand il est tué par le gangster avec un revolver. Le feu est aussi un symbole aussi d'origine Biblique, car Dieu nettoie le mal avec le feu. C'est à ce moment qu'un des méchants, ici l'informant, est nettoyé. Le gangster, cependant, reste mal comme il a fait un crime. Après le meurtre, juste au moment où il ca être arrêté, il s'enfuit de l'agent dans une voiture et il retourne à la ville où il peut se cacher encore. Mais, éventuellement comme le mal ne doit la rester impuni, le gangster aussi ca mourir à la fin du film, pour que le narrateur puisse finir l'histoire avec moralité et montrer que le mal est maintenant contrôlé.


Les techniques du film ajoutent à la réalisation d'histoire. Tout ce qui se passe dans cette histoire de gangster est présenté avec un flash-back en quelque sorte, pour dire que c'était dans le passé et que c'est maintenant fini. Le mouvement de camera aide à raconter et à indiquer le mal. Par exemple, le spectateur voit le gangster avec de plans en contre-plongée, le faisant plus grand, plus puissant que sa victime. Ce mouvement le glorifie au début de film, qui aidera à montrer la chute du gangster qui est très grave. En plus, la camera aussi montre la ville avec une certaine puissance grâce au plan d'ensemble, et lui donne un vrai rôle dans l'histoire du gangster. Ce type de plan peut indiquer la ville comme industrialisée avec des raffineries, ou chez des pauvres, marquant la différence entre le gangster et les autres dans ce quartier. Comme le gangster est la représentation du mal, on peut pas être très proche de lui, de peur de devenir comme lui, d'attraper sa maladie de crime. En contraste, on voit le chef du Trésor assez proche dans un plan taille, parce qu'il est quelqu'un en qui on peut avoir confiance. Comme j'ai dit, il tient le rôle d'un moralisateur et il montre des criminels pour que les gens sachent comment reconnaître le mal, ici le gangster. On veut être proche du chef encore parce qu'il va nous protéger dans son bureau, presque dans ses bras, comme un père. 


La musique utilisée dans ce film ajoute aussi à la réalisation de l'histoire. Elle essaie de préparer les liens entre ce qu'on voit et ce qui se passe. La musique commence au début du film très sérieusement, officielle, et contrôlée. Elle marche bien avec les scènes de l'état, du gouvernement, de la société actuellement qui sont présentées au début. Mais tout va changer avec la plongée dans l'histoire du gangster. La musique est plus mystérieuse, plus foncée, et rapide. La vitesse de la musique aide aussi l'indication du sommet de la scène - la meutre. En outre, les coutumes indiquent les bon et le méchant dans l'histoire, avec les couleurs claires et foncées qui marchent avec l'agente et le gangster, respectivement. En fin, les lumières jouent le plus grand rôle dans ce film, à mon avis. Le noir devient clair, et montre les deux visages d'un criminel - le bon en clair et le mal en noir, - car on n'a pas cent par cent l'un ou l'autre.

La Vie de la Ville: Une Vie de Solitude?

          Quand je suis arrivée à Paris, je pensais que cette grande ville m'enseignerait quelque chose sur moi'même. Aux États-Unis, je me croyais couraguese, sophistiquée, et plus indépendante que la plupart de mes amis. Je prenais le café, j'allais au centre commerciale où je faisais mes courses ou du shopping, et je complétais mes devoirs toujours toute seule aux États-Unis. J'aime bien le silence de la solitude, et j'aime ne pas m'occuper des autres. À Paris, cependent, je me trouve moins bavarde, plus timide et plus fermée qu'avant. À mon avis, ce changement de caractère vient de ma nouvelle vie parisienne où souvent je me trouve seule. 

          À Paris, aussi, je passe la journée assez seule. Je prends le café, je marche dans la rue, je fais mes devoirs comme d'habitude, mais c'est un peu différent. Quand je prends le train à l'université, personne ne me parle. Tout le monde s'intéresse à ses affaires et à soi-même. La pire est que maintenant, j'ai l'occasion de découvrir une ville incroyable, avec pleins d'activités amusantes, et je voudrais bien partager mes expériences avec les autres. Bien que je sache entouré par plusieurs gens, je n'arrive pas à faire connaissance avec les autres. Je reconnais que cela est vraiment une caractéristique d'une grande ville, et pas un produit uniquement de la culture parisienne. Au contraire, je trouve les Français plus sympas, plus ouverts en général de ce que j'avais pensé avant de venir à Paris. 

          Souvent, ma mère d'accueil me demande si je sors seule, et souvent je réponds oui. Elle trouve ça incroyable, et un peu triste. De temps en temps, je partage le même avis. C'est vrai que j'ai peu de personnes à Paris avec qui sortir, parler, rigoler de temps en temps. C'est bon d'avoir un Centre Skidmore pour créer une communauté d'étudiants américains qui fréquentent Skidmore ensemble, et pour se connecter. De l'autre part, je crois que j'apprécie plus mes amis aux États-Unis. Au Centre Skidmore, nous constituons un mélange d'étudiants qui se trouvent dans la même ville pendant qulques mois, et c'est dur de trouver de très bons amis parmi le group. En plus, car je ne fréquente pas une université française, je n'ai pas d'occasion de rencontrer d'autres amis français, de m'immerger complètement dans la société parisienne, et donc de créer ma vie pendant mon séjour à Paris. Par conséquent, je n'arrive pas à découvrir le vrai Paris et comment sont les vraies Parisiennes, et franchement, je trouve le programme de Skidmore limité dans une ville qui me semble illimitée. 

          Néanmoins, il y a une différence entre être toute seule et être solitaire. Je suis assez contente de passer la journée toute seule. Tout n'est pas dur, ni triste; au contraire, je suis très heureuse ici. Malgré des difficultés, j'arrive à découvrir la ville en toute sa splendeur, et je regarde cette expérience comme une recherche de moi-même. Au même temps, j'attens le semestre prochain quand je suivrai tous mes cours dans une université françaises, quand j'aurai un stage sans une société française où je pourrai me concentrer bien sur un sujet d'art, et quand j'habiterai vraiment au centre Paris. 

Monday, October 13, 2008

Les Relations Franco-Américains

          Les relations entre les Français et les Américains sont sans aucun doute très complexes. Ils semblent comme les beaux amis, parce qu'ils s'intéressent à l'idée de liberté, indiquée par leurs propres révolutions à la fin du XVIII siècle. En fait, ces deux pays depuis très longtemps ont besoin d'aide l'un de l'autre, souvent dans le cadre politique. Malgré la ressemblance des relations amicales, ils se disputent de temps en temps, ce qui crée des sentiments d'hostilité, un pays à l'autre. Pour réaliser ce dossier, j'ai consulté autres documents pour mieux comprendre, mais je me concentre sur les idées qui viennent pour la plupart du côté français, de l'Annuaire Français de Relations Internationales et des journaux Le Monde et Le Figaro.

          Premièrement, on peut dire que la France et les États-Unis ont les relations tendues à cause de leurs histoires collectives. Ezra Suleiman, l'auteur de "Les Perceptions Américaines de la Politique Étrangère de la France" donne quelques raisons pour lesquelles les Français restent agacés par les Américains. Après la Deuxième Guerre Mondiale, les États-Unis ont aidé la France avec la reconstruction de l'état, qui a établi les Américains dominent tous les aspects de la culture française, à cause de "l'impérialisme culturelle" marquée par l'existence de MacDo et Coca-Cola en France. Dans le cadre de la dominance des Américains, j'ouvre une parenthèse pour dire que, en réaction de cette dernière, la France a prescrit que les satellites américains n'y disséminent pas leurs idées culturellement différentes (Rothkopf 43). Assez intéressants, selon Suleiman, les Américains à l'autre côté ne s'intéressent pas beaucoup aux affaires de la France parce qu'ils ne regardent pas la France comme une puissance éventuelle.

          Deuxièmement, la France et les États-Unisont les relations tendues à cause de la politique plus courante. Suleiman dit que la France ne partage pas toujours l'avis des politiques étrangères américaines. Claude Moisy ajoute à tel discours ici avec son "Paris et Washington On Connu Pire," de 2003, remarquant que les Américains ne sont pas contents avec la France, parce qu'elle a décidé de ne pas les suivre en entrant dans la guerre en Irak. Il se remémore que quelques Français alignent le pouvoir du régime George W. Bush avec ce que les révolutionnaires françaises ont renversé avec la prise de la Bastille. Cependant, Moisy montre aussi que les États-Unis restent alliés avec la Grande-Bretagne, malgré la révolution américaine, dans laquelle les révolutionnaires essaient de se séparer de leur pays maternel, et ils gardent les sentiments négatifs par rapport aux Français. Dans ces instants, les Américains ne sont pas toujours les amis fidèles (Zecchini). Mais, en outre, on suggère qu'ils ne soient pas obligés d'être fidèles s'ils ne regardent pas la France comme une puissance au même niveau qu'eux (Montbrial). 

          Néanmoins, ils chassent ensemble les relations amiables. Thierry de Montbrial soutient l'opinion que les Américains "vouaient une sincère admiration à la France" dans son article "Entre Paris et Washington, une Vieille Histoire Querelleuse." En plus, Suleiman dit qu'il y a des choses culturellement américaines que les Français utilisent dans la vie quotidienne, par exemple le Coca-Cola et le MacDo. Bien sûr, avec ces exemples, elle indique que la culture française cède à la culture américaine qui la domine. Moisy reflète sur l'histoire, remarquant en général que les deux pays ont été les "solides alliés pendant plus de deux siècles." Comme les Français, en général, sont plus à gauche que les Américains, il a un sens que les jeunes Français seraient plus à gauche et trouveraient plus souvent les Américains comme "partenaire" dans le monde de liberté. 

          En général, ces articles dont je parle montre une relation de tension et d'amitié entre la France et les États-Unis, mais en effet ils soulignent souvent les parties négatives, les aspects des relations politiquement tendues. Ils ne donnent à la lecture que les informations plus important à savoir, plutôt ce qui est négatif, et plutôt comment les deux pays ne s'aiment pas. Un article, écrit par Zecchini, suggère que les Français aiment les Américains de moins en moins. Au contraire, l'article qui est écrit par Suleiman prend une vue plus positive, en demandant pourquoi ces relations tendues ou amitiés existent, et comment on cherche "les relations normals, pacifiées, [et] plus rationnelles" (291). Plus important, j'ai confiance en elle et aux faits qu'elle représente dans l;article parce qu'ele montre comment les relations ont été établies. Quant à Zecchini, je méfie aux statistiques qui viennent de sondages font par hazard. Cependant, Zecchini répond en quelque sorte à la question que Suleiman a posée dans son article. Malgré les événements qui ne sont pas trop mal, ces articles indiquent les relations assez négatives entre les deux pays. 

Thursday, October 9, 2008

Un Poème


Le chemin habituel où je marche chaque jour

Les personnes inconnues qui me regardent

L'ârome doux qui vient de la boulangerie

La langue harmonique qu'on chante par coeur

Le café dont la vapeur embue les pensées

L'histoire immense qui me tient facilement

Le jour complet, vivant qui me plait

La vie romantique dont je rêve depuis toujours



Tuesday, October 7, 2008

Les Sirènes


Les bêtes monstrueuses qui prennent plusieurs formes apparaissent souvent dans les mythes grecs. Elles peuvent être des bêtes avec des morceaux d'animal ou tout humaines. Ce qui est le plus intéressant, c'est un mélange des parties animales avec les parties humaines, et en plus, féminins. En particulier, les Sirènes faisaient partie de ce group de monstres. Pour mieux comprendre, on doit remarquer le mythe de la création du "monstre" et aussi les mythes où il joue le rôle monstueux. Donc, je vais parler de l'origine des Sirènes et puis raconter deux mythes où elles sont antagonistes, et vraiment, monstrueuses. 

Avant d'êtres devenues monstrueuses, les Sirènes étaient des nymphes de Perséphone, la femme de Hadès qui est Roi de l'Enfer. Ces nymphes, qui protègeaient Perséphone, n'avaient pas empêché Hadès de l'enlever secrètement. Donc, Déméter, la mère de Perséphone, a changé les Sirènes en mi-femme, mi-oiseau avec les vraies ailes et les voix les plus douces pour appeler et chercher la fille disparue aux Enfers après que Hadès est tombé amoureux d'elle. Après quelque temps, on rende compte que Perséphone serait perdue pour toujours, ça veut dire qu'elle ne serait jamais retournée chez elle, les Sirènes ont laissé tomber la recherche, et elles sont restées sur une île pendant leurs jours. Cette île s'appelle différemment selon les mythes, mais selon Homère, l'auteur de l'Odyssée, elles résidaient entre Aeaea et chez Scylla, un autre monstre.


En général, les auteurs des mythes indiquent trois Sirènes, une qui joue de la flûte, une autre qui joue de la lyre et la troixième qui chante merveilleusement. Dans quelques récits, elles sont nommées séparément, mais aujourd'hui on peut se référer à elles comme un groupe sans numéro. Plus souvent, dans la mythologie grecque, elles sont les créatures avec leur corps d'oiseau et la tête ou le torse de femme exceptionnellement belles. C'est cela, et aussi leur chante le plus merveilleux, comme les oiseaux, qui rend les marins incapables de leur résister. Évidemment, ils sont pris par leur beauté, ils sont séduits par ces enchantresses et ils conduisent leurs bateaux vers les belles femmes, sur l'île, jusqu'aux roches déchiquetées, qui encerclent l'île et détruisent les bateaux. Naufragés, les marins se noient dans la mer.

En particulier, on se souvient de l'histoire d'Ulysse, un navigateur héroique d'Ithaque, qui a traversé la mer Méditerranée pendant la guerre de Troie, conquérant les obstacles afin qu'il puisse retourner chez lui et être avec sa femme, Pénélope. Il a rencontré les Sirènes en passant leur île. Il avait commandé aux marins de se boucher les oreilles avec de la cire, quant à lui, il écoutait tout seul leur chanson, à cause de sa curiosité. Afin d'empêcher de se tuer sur les roches, il était attaché au mât de son bateau. Heureusement, ils ont passé l'île sans événement, ayant évité les monstres qui y résidaient. Dans un autre mythe connu, Jason et les Argonautes qui cherchent la Toison d'Or, c'était Orphée qui a chanté plus merveilleusement que les Sirènes pendant qu'ils passaient l'île, permettant aux Argonautes de passer tranquillement aussi. Avant ces histoires, il avait été prévu qu'un bateau passerait indemne, tranquillement par île des Sirènes, qui étaient horrifiées de voir les hommes s'échapper, se sont jetées dans la mer et se sont noyées. Ça, c'est la raison pour laquelle elles n'existent plus aujourd'hui.


Ce mythe, comme tous les mythes avec les femmes "monstueuses," met les hommes en garde contre les femmes séductrices. Il s'agit de montrer aux hommes la puissance des femmes à les séduire jusqu'à la mort, en quelque sorte, le mythe existe pour expliquer les chemins dans lesquels les femmes sont dangereuses, bien sûr remarquent leurs belles voix et après leurs corps féminins. Aujourd'hui, on raconte ce mythe pour s'amuser car il est exotique puisqu'il n'existe pas vraiment dans le monde. 

Sunday, October 5, 2008

Saturday, October 4, 2008