Monday, October 13, 2008

Les Relations Franco-Américains

          Les relations entre les Français et les Américains sont sans aucun doute très complexes. Ils semblent comme les beaux amis, parce qu'ils s'intéressent à l'idée de liberté, indiquée par leurs propres révolutions à la fin du XVIII siècle. En fait, ces deux pays depuis très longtemps ont besoin d'aide l'un de l'autre, souvent dans le cadre politique. Malgré la ressemblance des relations amicales, ils se disputent de temps en temps, ce qui crée des sentiments d'hostilité, un pays à l'autre. Pour réaliser ce dossier, j'ai consulté autres documents pour mieux comprendre, mais je me concentre sur les idées qui viennent pour la plupart du côté français, de l'Annuaire Français de Relations Internationales et des journaux Le Monde et Le Figaro.

          Premièrement, on peut dire que la France et les États-Unis ont les relations tendues à cause de leurs histoires collectives. Ezra Suleiman, l'auteur de "Les Perceptions Américaines de la Politique Étrangère de la France" donne quelques raisons pour lesquelles les Français restent agacés par les Américains. Après la Deuxième Guerre Mondiale, les États-Unis ont aidé la France avec la reconstruction de l'état, qui a établi les Américains dominent tous les aspects de la culture française, à cause de "l'impérialisme culturelle" marquée par l'existence de MacDo et Coca-Cola en France. Dans le cadre de la dominance des Américains, j'ouvre une parenthèse pour dire que, en réaction de cette dernière, la France a prescrit que les satellites américains n'y disséminent pas leurs idées culturellement différentes (Rothkopf 43). Assez intéressants, selon Suleiman, les Américains à l'autre côté ne s'intéressent pas beaucoup aux affaires de la France parce qu'ils ne regardent pas la France comme une puissance éventuelle.

          Deuxièmement, la France et les États-Unisont les relations tendues à cause de la politique plus courante. Suleiman dit que la France ne partage pas toujours l'avis des politiques étrangères américaines. Claude Moisy ajoute à tel discours ici avec son "Paris et Washington On Connu Pire," de 2003, remarquant que les Américains ne sont pas contents avec la France, parce qu'elle a décidé de ne pas les suivre en entrant dans la guerre en Irak. Il se remémore que quelques Français alignent le pouvoir du régime George W. Bush avec ce que les révolutionnaires françaises ont renversé avec la prise de la Bastille. Cependant, Moisy montre aussi que les États-Unis restent alliés avec la Grande-Bretagne, malgré la révolution américaine, dans laquelle les révolutionnaires essaient de se séparer de leur pays maternel, et ils gardent les sentiments négatifs par rapport aux Français. Dans ces instants, les Américains ne sont pas toujours les amis fidèles (Zecchini). Mais, en outre, on suggère qu'ils ne soient pas obligés d'être fidèles s'ils ne regardent pas la France comme une puissance au même niveau qu'eux (Montbrial). 

          Néanmoins, ils chassent ensemble les relations amiables. Thierry de Montbrial soutient l'opinion que les Américains "vouaient une sincère admiration à la France" dans son article "Entre Paris et Washington, une Vieille Histoire Querelleuse." En plus, Suleiman dit qu'il y a des choses culturellement américaines que les Français utilisent dans la vie quotidienne, par exemple le Coca-Cola et le MacDo. Bien sûr, avec ces exemples, elle indique que la culture française cède à la culture américaine qui la domine. Moisy reflète sur l'histoire, remarquant en général que les deux pays ont été les "solides alliés pendant plus de deux siècles." Comme les Français, en général, sont plus à gauche que les Américains, il a un sens que les jeunes Français seraient plus à gauche et trouveraient plus souvent les Américains comme "partenaire" dans le monde de liberté. 

          En général, ces articles dont je parle montre une relation de tension et d'amitié entre la France et les États-Unis, mais en effet ils soulignent souvent les parties négatives, les aspects des relations politiquement tendues. Ils ne donnent à la lecture que les informations plus important à savoir, plutôt ce qui est négatif, et plutôt comment les deux pays ne s'aiment pas. Un article, écrit par Zecchini, suggère que les Français aiment les Américains de moins en moins. Au contraire, l'article qui est écrit par Suleiman prend une vue plus positive, en demandant pourquoi ces relations tendues ou amitiés existent, et comment on cherche "les relations normals, pacifiées, [et] plus rationnelles" (291). Plus important, j'ai confiance en elle et aux faits qu'elle représente dans l;article parce qu'ele montre comment les relations ont été établies. Quant à Zecchini, je méfie aux statistiques qui viennent de sondages font par hazard. Cependant, Zecchini répond en quelque sorte à la question que Suleiman a posée dans son article. Malgré les événements qui ne sont pas trop mal, ces articles indiquent les relations assez négatives entre les deux pays. 

No comments: